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  • Photo du rédacteurRésistance 58

Qui sommes nous?

Dernière mise à jour : 16 oct. 2019


Eva

Bonjour! Je m’appelle Eva et je suis la leader de Résistance 58,  en croyant que quand nous travaillons en équipe, notre impacte peut être encore plus grand. Je suis originaire de la belle, chaleureuse et ensoleillée République Dominicaine. Voyageuse, rêveuse, maman, entrepreneuse créative, j’aime lancer des idées qui vont se transformer en magnifiques réalités. Passionnée de l’hospitalité, de la justice social et de la beauté, j'aime créer des endroits où les gens puissent ralentir et se sentir célébré, aimé et encouragé.  Une fois de plus, je me joins à Dressember avec la ferme conviction que chacun de nous a la capacité et la responsabilité d'apporter le changement dans notre monde, et que l'amour doit être agi,  en détachant les chaînes de l'injustice, en libérant ceux qui sont opprimés  et en prenant soin de tous avec chaque mot et chaque choix que nous faisons.


Simon, Matias et Eva

Je m’appelle Simon et j'ai 30 ans, je suis marié avec ma chère Eva et papa de Matias un petit gars de 3 ans. Je suis Suisse mais avec un cœur partagé a plusieurs pays (Écosse, Angleterre, Canada).

Je suis charpentier, mais un charpentier qui aime pouvoir essayer des choses nouvelle avec le bois et qui aime donner une nouvelle vie à des vielles maisons ou des choses endommagées, pâtissier amateur, avec une faible obsession pour les chats et la nature.

Le pourquoi j'ai rejoint l'équipe de Dressember, c'est que je trouve en tant qu'homme nous avons cette responsabilité et ce devoir du respect de la femme et que nous avons cette part à jouer dans notre quotidien. Nous sommes en constant combat avec ce qu'on vois et ce que la pub(et autres biais) veux nous montrer ou nous faire croire. Qui ne reflète pas souvent la réalité. Unis nous pouvons faire la différence!



Laura

Je m'appelle Laura et travaille comme sage-femme dans la canton de Vaud. C'est la première fois que je rejoins ce beau projet de Dressember. A travers mon travail et mes voyages humanitaires, j'ai été fréquemment confrontée ou ai entendu des témoignages de cas de traite d'êtres humains. Cela m'a profondément touchée. Dressember permet de prendre conscience du droit à la liberté et de justice pour tous ceux qui sont touchés par la traite d'êtres humains et d'agir par différentes actions. Je désire, par cette initiative, être une voix pour ceux qui n'en ont pas et être un moteur de changement.



Marylène

La première fois que j’ai entendu parlé de Dressember, c’était il y a 2 ans. Je me suis dit que c’était vraiment super mais en même temps que jamais je n’en ferai partie car en décembre il fait froid et que, quand même, ce n’est pas agréable d’être en robe…et je ne parle même pas des collants !!!

Plus tard j’ai réalisé que c’était bien plus qu’une robe. Il s’agit d’éveiller les consciences quant au trafic sexuel et à l’esclavage. De soutenir financièrement les œuvres qui se battent déjà depuis des nombreuses années. Il s’agit aussi de personnellement reconnaître ses droits et sa valeur.

Aujourd’hui je suis fière de rejoindre Dressember, fière de toutes ces personnes qui s’unissent pour espérer l’abolition de ces injustices. Et je crois que chaque geste, chaque investissement quelque soit a le potentiel de faire une différence.


Et vive les collants !



Elodie


Je m'appelle Elodie et je suis étudiante en psychologie à l'université de Lausanne.

C'est avec une grande joie que je participe à dressember pour la première fois! J'adore l'idée qu'on puisse utiliser notre créativité pour sensibiliser notre entourage à propos du trafic humain. Dressember me permet de sortir de ma passivité et d'agir concrètement contre ces injustices qui m'ont toujours profondément touchées. Agir contre quelque chose qui n'a tout simplement pas lieu d'être.




Christine




Je m'appelle Christine,

J'ai longtemps travaillé dans la santé et suis une jeune retraitée.

Depuis quelques année je fais partie de TABGHA ministère qui est en contact avec les femmes migrantes et étrangères. Beaucoup ont subis l'abus et la maltraitance. 

Il y a quelques années j'ai lu le nombre de femmes qui transite par la Suisse pour la prostitution ou le travail forcé.  J'ai été choquée et triste que mon pays accepte une telle situation. Heureusement des hommes et des femmes se lèvent et je suis heureuse que par ce moyen tout simple de porter une robe en décembre je peux  manifester mon soutien à toutes ces personnes abusées.

Les robes ne font par partie de ma garde robes ( pour le moment )! les porter est bien peu de chose pour exprimer mon soutien.



Lina

Je m'appelle Lina et j'ai 25 ans. C'est la troisième fois que je participe à Dressember. Je suis étudiante en travail social et au travers de mes études j'ai pu découvrir différents pays et communautés qui font face à la traite d'êtres humains ainsi que les organisations déjà surplaces et le travail qu'elles font auprès des victimes.

La découverte de l'ampleur qu'à la traite d'êtres humains m'a surprise et m'a poussée à m'informer d'avantage sur les personnes concernées. J'ai ainsi commencé à acheter des habits conçus par des personnes dont le travail a été reconnu et payé. Je souhaiterai par la suite m'investir auprès des victimes de traites d'êtres humains dans ma ville.



Lisa

Je m’appelle Lisa.

J’ai 23 ans.

Je suis en 3ème année de bachelor en sociologie.

C’est la deuxième fois que je fais Dressember. La vision de ce mouvement résonne dans mon cœur.

En effet, depuis plusieurs années, j’ai à cœur de pouvoir être une voix pour les femmes victimes d’injustices et de violences, qui sont réduites au silence.

Dressember est un moyen pour moi d’agir concrètement ; et de faire passer le message que chaque personne devrait connaître sa valeur, pas son prix.

Ensemble, nous pouvons faire la différence. Ensemble nous pouvons combattre la traite humaine et l’esclavage sexuel.



Mayya





Je m’appelle Mayya. J’ai 39 ans. Je suis l'heureuse maman de deux incroyables enfants. Un jour, en regardant dormir mes deux petits tornades, j’ai pensé à tous ces enfants comme les miens disparaissent tous les jours, victimes de trafic humain, et mon cœur s'est brisé. Dans cette catégorie des hommes et des femmes sont aussi touchés. 

Etant originaire de Bolivie, mon pays est le centre géographique et la cible de trafiquants de milliers de personnes qui sont destinées au pire des enfers terrestres. C’est pour cela que Dressember ne m’a pas laissé indifférente! Je me suis sentie appelée à pouvoir donner une petite voix à ceux qui souffrent dans l’anonymat par un acte simple et plein d’espoir










Moïra

Je m'appelle Moïra, je suis ergothérapeute et nouvellement habitante de Porto. Je m'engage à travers Dressember pour la deuxième année consécutive afin de sensibiliser les personnes qui m'entourent sur la question du trafic humain. Basée dans un autre pays, je souhaite faire connaitre Dressember, ses buts, valeurs et trouver des militantes qui porteront fièrement une robe chaque jour du mois de décembre, afin de lutter contre la privation quotidienne, à travers le monde, de droits humains fondamentaux.







Bonjour ! Je m’appelle Nicole. Depuis plusieurs années je fais partie d’une Association qui s’appelle Tabgha, dont l'un des buts est d’entrer en relation avec les femmes migrantes-musulmanes de Suisse Romande et de tisser des liens d’amitiés avec elles ainsi qu’avec leurs familles. C’est un honneur, une immense joie de côtoyer ces femmes. Elles m’enrichissent beaucoup par leur courage, leur détermination, leur générosité, l’amour qu’elles donnent ainsi que par leur capacité à aller de l’avant malgré leur histoire de vie souvent très douloureuse. 

A de nombreuses reprises, nous avons partagé sur le fait que chacune de nous avait de la valeur, et combien il était important d’en être consciente.

Je me réjouis qu’au travers de « Dressember », je puisse être une voix aux côtés de nombreuses femmes en leur disant encore et encore: 

« Relève la tête, tu as été créée avec une destinée, tu es précieuse et tu as une valeur inestimable ! ».



Floriane

Je me souviens parfaitement la première fois que j’ai entendu parler du trafic humain et que j’ai pris conscience de l’ampleur et l’horreur de ceci. Je me souviens de ce vertige que j’ai ressenti en me mettant à la place de ces femmes, hommes et enfants vendues et traitées comme des objets. 

Je m’appelle Floriane et j’ai 34 ans. Et je suis heureuse de me joindre pour la première fois Dressember. J’aime l’idée de pouvoir sensibiliser les personnes autour de moi, simplement au travers d’une robe. 



Cathy

Je m’appelle Cathy je suis maman de trois filles je suis enseignante mais actuellement je travaille dans les classes comme aide à l’intégration . Je fais dans le cadre de Mother in prayer et Tabgha des ateliers créatifs . Les valeurs que défendent Dressember rejoignent ce qui me tient à cœur : le respect ,la dignité , la justice , la restauration au travers de la créativité , que chacun est unique et créé par Dieu avec une valeur inestimable et qu’ensemble on peut insuffler la vie et l’espoir .




Mélanie





Je m’appelle Mélanie, j’ai 20 ans et je suis étudiante en soins infirmiers. C’est la deuxième année que je fais Dressember et j’ai toujours la même envie de mettre en lumière les injustices que vivent les personnes opprimées ! J'ai décidé de porter une robe durant 1 mois comme signe de liberté pour tous ! C’est un super moyen d’agir concrètement pour les personnes qui ne peuvent pas s’exprimer !















Merci beaucoup pour votre soutien et votre participation pour cette belle cause !

Soyons les moteurs d'un changement mondial ! Ensemble, nous pouvons le faire !






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